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Vos 84% de participation ont manqué de courage

 

Les 10 enjeux de ce second tour électoral du 6 mai 2007 furent et demeurent jusqu'à ce jour orphelins du courage  :

 

1. Le courage de désarmer cette oppression illibérale dans le travail

 

2. Le courage de briser la censure systémique de mon MESSAGE CITOYEN UNIVERSEL

Ce site d'information a pour but de mobiliser notre peuple pour briser la censure de mon Message.

Toutes ses diffusions publiques furent interdites dans l’entre-deux-tours de la présidentielle de 2007.

Que me reproche-t-on ? D'avoir déclaré publiquement que seule l'abstention avait un sens à cette élection.

 

3. Le courage de comprendre la légitime défiance des abstentionnistes

Sarkozy abstention courage

 

4. Le courage de ne plus légitimer par nos votes les erreurs de casting de nos narcissismes politiques :

Près de 84 % de non-abstentionnistes inscrits participèrent au second tour de l'élection présidentielle de 2007.

L’applaudimètre de cette farce indiqua plus précisément 83,97 %. Les votes se répartirent comme suit :

42,68 % élurent Nicolas Sarkozy. 37,76 % votèrent Ségolène Royal. 3,53 % votèrent blanc ou nul.

Seuls 16,03 % des Français ne firent pas écho de leurs âmes à ce naufrage de la démocratie.

 

5. Le courage de rompre psychologiquement avec notre société malade de son narcissisme

« Ce n'est pas un signe de bonne santé que d'être adapté à une société profondément malade »

Jiddu KRISHNAMURTI (*1895 - †1986), philosophe d'origine indienne.

 

6. Le courage de désarmer la cause de notre omni-crise mondiale de civilisation

J’ai décrit tous ses ressorts scientifiques pour la désarmer dans Le désarmement des narcissismes.

 

7. Le courage de désarmer cette même cause majeure des suicides du travail

 

8. Le courage de nous transcender collectivement pour redevenir maîtres de nous-mêmes

 

9. Le courage de libérer le monde du travail par la confiance

La confiance est notre seule « monnaie » universelle pour refonder l'économie au service de la vie.

 

10. Le courage de vouloir bien combattre la faim dans le monde

À Paris, le 12 octobre 2008, 1 700 milliards d’euros furent budgétés pour ne renflouer que des banques.

Chaque pour cent de ces 1 700 000 000 000 € eût permis de sauver 3,214285 millions de morts de faim.