L'antilibéralisme a diabolisé Pompidou et Giscard
Entre avril 1962 et juillet 1968, Georges POMPIDOU fut un excellent Premier ministre de DE GAULLE :
« Pas une fois dans ma vie, me dit un jour Georges Pompidou, je n'ai vu les Français
aux prises avec une épreuve dont ils ne fussent eux-mêmes les auteurs, avant d'en devenir les victimes.
Ils n'ont jamais eu de pire ennemi qu'eux-mêmes. » Pompidou cité par Alain Peyrefitte dans Le Mal Français (1976).
Voici, sur une chaîne de télévision publique, sa définition courageuse du libéralisme en juin 1967 :
Cependant, sous des influences antilibérales hétéroclites et massifiées par la démocratisation d'Internet,
de l'effroyable imposteur Thierry MEYSSAN (depuis 2002) aux cyber-complotistes SORAL, DIEUDONNÉ,
CHOUARD et ASSELINEAU, des Facebookers ont diabolisé à tort POMPIDOU, GISCARD et ROTHSCHILD :
Voici, en effet, une capture d'écran sur Agoravox réhabilitant la loi de 1973 dite « Pompidou-Giscard »
accusée à tort d'être responsable de tous les maux de l'univers (en lieu et place de la dictature de tous nos ego) :
CONCLUSION :
Le libéralisme est la promotion de toutes nos libertés individuelles. Alors comment être antilibéral ?
Être antilibéral, c'est faire dire au mot « libéral » le contraire de ce qu'il signifie. En effet, quels sont,
en français, les 6 contraires du mot « libéral » ? Réponse du dictionnaire Robert : « Avare. Autocrate,
dictatorial, dirigiste, fasciste, totalitaire ». Attisé par ses opportunistes comme Marine LE PEN sur Twitter,
l'antilibéralisme "bon teint" n'est donc qu'un néo-fascisme diabolisant et nazifiant « à mort » le libéralisme :
en France, ce libéralisme diabolisé est le bouc émissaire de la dictature de tous nos propres narcissismes.